Naves est un village perché comme il en existe des centaines en Ardèche. Indiqué comme village de caractère, il serait dommage de passer à côté. A quelques kilomètres des Vans, en Ardèche méridionale, Naves revit dans un concert en cigales majeures, niché dans son écrin de cultures méditerranéennes.
Dans les ruelles de Naves, il n'est pas rare de croiser un cortège de brouettes remplies de valises ou de commissions. Ce rituel est quasiment imposé par le dédale de ses calades en pente, interdites à la circulation automobile.
Ce village a connu un délaissement progressif après guerre suite à l'arrachage des oliviers avec le grand gel de l'hiver 1956, puis à la fermeture de la dernière magnanerie, où on élevait les vers à soie, en 1963.
Petit à petit, à partir de 1983, le village revit avec l'arrivée d'étrangers qui entreprennent les premières restaurations pour y vivre quasiment à l'année ou une bonne partie. Puis les artisans suivent le mouvement : l'apiculteur, l'agriculteur, l'artisan d'art....Bref, nous ne sommes pas dans un village musée ! Le village respire, les enfants qui jouent sans soucis au milieu des calades et le linge qui sèche au vent prouvent que la vie est là.
La belle église Saint-Jacques, romane comme il se doit, a failli chavirer. La volonté d'une poignée de bénévoles a permis sa réhabilitation, et il est doux de s'asseoir au frais de son porche.
Les oliviers s'épanouissent à nouveau sur ses terrasses fleuries, mais aussi la vigne et la castanéiculture (les châtaignes) ont repris des couleurs.
Dans les ruelles de Naves, il n'est pas rare de croiser un cortège de brouettes remplies de valises ou de commissions. Ce rituel est quasiment imposé par le dédale de ses calades en pente, interdites à la circulation automobile.
Ce village a connu un délaissement progressif après guerre suite à l'arrachage des oliviers avec le grand gel de l'hiver 1956, puis à la fermeture de la dernière magnanerie, où on élevait les vers à soie, en 1963.
Petit à petit, à partir de 1983, le village revit avec l'arrivée d'étrangers qui entreprennent les premières restaurations pour y vivre quasiment à l'année ou une bonne partie. Puis les artisans suivent le mouvement : l'apiculteur, l'agriculteur, l'artisan d'art....Bref, nous ne sommes pas dans un village musée ! Le village respire, les enfants qui jouent sans soucis au milieu des calades et le linge qui sèche au vent prouvent que la vie est là.
La belle église Saint-Jacques, romane comme il se doit, a failli chavirer. La volonté d'une poignée de bénévoles a permis sa réhabilitation, et il est doux de s'asseoir au frais de son porche.
Les oliviers s'épanouissent à nouveau sur ses terrasses fleuries, mais aussi la vigne et la castanéiculture (les châtaignes) ont repris des couleurs.
S'il vous vient l'idée d'une ballade ou d'un séjour dans le secteur, je vous invite à visiter ce petit bijou où je rêverais bien d'une résidence secondaire. D'ailleurs la maison ci-dessous est en vente. Appel aux amateurs...
Magnifique endroit c'est vrai , il y a beaucoup de belles choses dans notre pays
RépondreSupprimerBonne journée Vero
Gros bisous
Un village parmi d'autres semble tu dire... oui mais il faut prendre le temps de le découvrir, de l'apprécier.
RépondreSupprimerTu as fait tout ça pour nous !!! Merci superbe.
Le problème majeur dans ce genre de lieu qui semble idyllique le temps d'une visite, c'est la saison morte et de quoi faire bouillir la marmite(comme il est coutume de dire)!!!
Par mes propos "rabat joie", je ne veux dissuader personne de les visiter bien au contraire ils en ont absolument besoins.
Bonne journée.. :o))
En effet c'est bien beau ces pierres. Ce village me semble si calme quel plaisr pour mes yeux merci
RépondreSupprimerBonjour une envie de revoir tes photos. Un village qui doit être bien calme. Tres beau en effet.Trop calme pour moi je ne sais pas. Mais bravo
RépondreSupprimerBonne journée