Le grand père, immigré italien arrivé en France (sans papiers), l'avait construite en 1930. Elle a abrité des bonheurs mais aussi des drames. Mes beaux-parents s'y étaient installés comme jeunes mariés et mon mari y était né.
C'était pas une petite maison dans la prairie...mais une grande dans un village de Franche-Comté.
Ma belle-mère y est décédée en novembre ; nous vivons à Nantes ; nous ne pouvions pas la garder ; il fallait la vendre.
Par bonheur, un jeune couple s'est porté acquéreur et la vie de cette maison va se poursuivre avec eux. J'en suis heureuse et nous leur avons souhaité tout le bonheur du monde.
Cet été était le dernier où mon petit-fils a pu jouer dans ce jardin. Une page s'est tournée...L'été prochain nous lui ferons connaître d'autres lieux où il pourra gambader.
Joli passage de témoin , d'autres enfants vont gambader la bas.Bonne soirée Véro.
RépondreSupprimerbelle maison de l'enfance qui s'en va continuer son histoire ...
RépondreSupprimerTon billet est très émouvant, Véro, ces maisons familiales renferment tant et tant de souvenirs, mais comme tu dis, il faut savoir tourner la page et surtout passer le relais ; comme toi, je trouve ça très heureux que ce soit une famille avec des enfants qui envahisse avec bonheur ces lieux... la vie continue...
RépondreSupprimerBisous, bonne semaine,